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Ken Levingston, maire de Londres

Ken Levingston, maire de Londres


5 mai 2000 : Pour la première fois de leur histoire, les Londoniens se sont rendus aux urnes pour élire un maire. Ken Livingstone, qui se présentait en indépendant, dissident du Parti travailliste, a été élu à ce poste. (Source Fil-info-France)

Biographie de Ken Levingstone :


Kenneth Robert Levingstone est né le 17 juin 1945 à Streatham dans le sud de Londres.

Il travaille comme technicien dans un institut de recherche sur le cancer, à Londres.

En 1971, il est élu conseiller communal à Lambeth.

En 1973, il devient membre du parti travailliste.

En mai 1981, il est élu à la tête du parti travailliste jusqu'à l'abolition de celui-ci en 1986.

2000, Ken Livingstone se présente en tant que candidat indépendant aux élections municipales de Londres et devient le premier maire de Londres. Cette décision entraîne son exclusion du Parti travailliste.

5 mai 2000 : Pour la première fois de leur histoire, les Londoniens se sont rendus aux urnes pour élire un maire. Ken Livingstone, qui se présentait en indépendant, dissident du Parti travailliste, a été élu à ce poste.
(Source Fil-info-France)

Janvier 2004 : Ken Livingstone est réintégré au sein du Parti travailliste. Il annonce qu'il sera candidat à sa propre succession à la tête de la mairie de Londres.

10 juin 2004 : Ken Livingstone est réélu maire de Londres.

Samedi 25 février 2006 : Ken Livingstone a été suspendu de ses fonctions pour 4 semaines, à partir du 1er mars 2006 pour avoir comparé un journaliste juif à un garde de camp de concentration nazi.

(Source Fil-info-France)


L'actualité de www.fil-info-france.com sur Ken Levingstone :


18 juillet 2007 : Le maire de Londres, Ken Livingstone, a indiqué mardi 17 juillet 2007 lors d'une interview portant sur le refus par la Russie d'extrader l'homme d'affaires russe Andreï Lougovoï qui y est accusé d'être impliqué dans la mort de l'ex-officier du FSB Alexandre Litvinenko "qu'il ne fallait pas s'étonner" du refus de Moscou, ajoutant : "C'est bizarre de compter sur une extradition de l'accusé alors que la Grande-Bretagne avait elle-même refusé d'extrader vers la Russie Boris Berezovski, Akhmed Zakaïev et d'autres personnes".

Mardi 28 février 2006 : ROYAUME-UNI :
Le maire travailliste de Londres, Ken Livingstone, surnommé "Ken le Rouge", a fait appel de la décision de la commission de discipline de le suspendre de ses fonctions pour 4 semaines à compter du 1er mars 2006 pour avoir comparé Oliver Finegold, un reporter juif du quotidien londonien "Evening Standard", à un garde de camp de concentration nazi. (Source Fil-info-France)

Samedi 25 février 2006 : ROYAUME-UNI :
Le maire travailliste de Londres, Ken Livingstone, surnommé "Ken le Rouge" a été suspendu de ses fonctions pour 4 semaines, à partir du 1er mars 2006 pour avoir comparé un journaliste juif à un garde de camp de concentration nazi, a annoncé la commission de discipline qui l'a condamné. Les trois membres de l'Adjucation Panel, un organisme indépendant chargé de juger le comportement des élus locaux, ont estimé à l'unanimité qu'il avait fait preuve "d'insensibilité" et "insulte sans raison" Oliver Finegold, un reporter du quotidien londonien "Evening Standard". En février 2005, le maire travailliste avait comparé le journaliste qui tentait de l'interviewer à la sortie d'une soirée, à un "ancien criminel de guerre allemand". Le reporter avait rétorqué qu'il était juif et se sentait offensé. Ken Livingstone avait répliqué: "Vous êtes juste comme un gardien de camp de concentration". Voir notre édition du 16 février 2005 (Royaume-Uni) (Source Fil-info-France)

Jeudi 10 mars 2005 : GRANDE-BRETAGNE : Le maire de Londres, Ken Livingstone, a accusé le gouvernement israélien d'inspirer le réseau terroriste Al-Qaïda, dans une interview donnée au quotidien du Proche-Orient en langues anglaise et française, "Jerusalem Post", titrée le 8 mars 2005 : "La politique israélienne incite al-Qaïda à recruter des terroristes". "Les menaces proviennent du gouvernement israélien actuel, qui viole les droits de l'homme des Palestiniens (...) fait monter la température au Proche-Orient jusqu'à l'ébullition, et crée ainsi des menaces pour nous tous", dénonce Ken Livingstone. "Cette politique revient à servir d'agent recruteur pour les groupes extrémistes comme Al-Qaïda, qui peuvent ainsi se poser en sympathisants de la cause palestinienne". L'ambassadeur d'Israël au Royaume-Uni, Zvi Heifetz, a accusé le maire de Londres, "d'attiser les préjugés et la haine entre Israéliens et Palestiniens", et s'est élevé contre ses "remarques scandaleuses comparant un journaliste britannique à un criminel de guerre nazi". "Le maire éprouve le besoin d'assurer qu'il n'est pas antisémite, mais seulement "anti-israélien". Pour justifier la différence, il lance une attaque virulente contre Israël. Nous faisons confiance au public pour ne pas être dupe et voir ce qui se cache derrière sa stratégie", a déclaré Zvi Heifetz. NDLR. Bien qu'ayant qualifié le Premier ministre Ariel Sharon de "criminel de guerre qui devrait être en prison", le maire de Londres, Ken Livingstone, a déclaré lundi 7 mars 2005 au quotidien Jerusalem Post qu'il accepterait de le rencontrer s'il se rendait en Angleterre. Ken Livingstone, maire de Londres, qui soutient que : "Ne pas être d'accord sur la politique et les actions d'Ariel Sharon, ou de son gouvernement, n'est pas de l'antisémitisme." Plus de détails : Edition du 5 mars 2005 (Source Fil-info-France)

Samedi 5 mars 2005 : GRANDE-BRETAGNE :
Ken Livingstone, maire de Londres, a qualifié le Premier ministre israélien Ariel Sharon de "criminel de guerre" dans une critique de la politique israélienne publiée vendredi 4 mars 2005 par le quotidien britannique The Guardian. "Sharon continue à organiser la terreur", a dénoncé Ken Livingstone insistant sur le nombre disproportionné de morts palestiniens et israéliens durant l'Intifada. "Depuis 20 ans, le gouvernement israélien a tenté de présenter quiconque critiquant la politique d'Israël comme un antisémite. La vérité est à l'opposé : les mêmes valeurs humaines universelles qui reconnaissent l'Holocauste comme le plus grand crime raciste du 20e siècle exigent la condamnation des politiques des gouvernements israéliens successifs". Ken Livingstone reprend là un thème d'une campagne menée en 2002 en France par la Ligue des droits de l'Homme LDH et la Fédération internationale des droits de l'Homme FIDH qui déclaraient : "La communauté internationale est complice des crimes de guerres accomplis en toute impunité, chaque jour sur ordre d'Ariel Sharon. Nous ne pouvons rester spectateurs sans rien dire ni rien faire. Nous soutenons les Israéliens et les Palestiniens qui ont le courage de dire non. Exigeons de nos gouvernements que les droits fondamentaux des peuples et des personnes soient respectés". Enfin, le maire de Londres a rejeté les accusations d'antisémitisme portées contre lui et refusé une nouvelle fois de s'excuser pour les propos qu'il avait tenus en février 2005, comparant un journaliste qui le harcelait à un gardien de camp de concentration, journaliste qui a révélé être Juif. Plus de détails : photo de la campagne LDH et FIDH "Ariel Sharon, un criminel de guerre en exercice" ; Ariel Sharon, un criminel de guerre en exercice (Source Fil-info-France)

Jeudi 17 février 2005 :
Le Premier ministre britannique Tony Blair a invité mercredi le maire de Londres Ken Livingstone à s'excuser après avoir traité un journaliste juif de "gardien de camp de concentration" déclarant dans une interview à la télévision : "Beaucoup d'entre nous dans la classe politique s'énervent parfois contre les journalistes, mais dans ces circonstances, et parce que ce journaliste était juif, oui, il devrait s'excuser. Qu'il s'excuse et finissons-en, c'est la chose sensée à faire". (Source Fil-info-France)

Mercredi 16 février 2005 : GRANDE-BRETAGNE :
L'Assemblée de Londres a réclamé lundi des excuses publiques de Ken Livingstone, surnommé "Ken le Rouge", maire travailliste de Londres, après des propos jugés antisémites et pour lequel ce dernier refuse de s'excuser malgré la motion votée par l'Assemblée de Londres réclamant des excuses publiques. Devant la presse la semaine dernière, s'estimant accablé de questions par un reporter de l'Evening Standard, il l'a comparé à "un criminel de guerre allemand". "Non, je suis juif", a rétorqué le journaliste Oliver Finegold. Le maire de Londres a alors rétorqué : "Vous l'êtes peut-être mais vous agissez comme un garde de camp de concentration." Des organisations juives, des survivants de l'Holocauste, des membres du parti Travailliste et la ministre de la Culture, Tessa Jowell ont prié le maire de Londres de s'excuser. Celui-ci, mardi, lors d'une conférence de presse à la mairie de Londres, a déclaré : "Il serait très facile pour moi de m'appuyer sur la pression médiatique (pour m'excuser) mais je ne vais pas le faire. Vous pouvez penser que mes remarques sont choquantes, c'est purement une question de jugement. Si vous pensez qu'elles sont racistes, je crois que vous avez tort." Ken Livingstone a également fait allusion au fait que le journaliste travaillait pour un groupe de presse dont l'un des titres, le "Daily Mail", avait exprimé de la sympathie pour les groupuscules fascistes britanniques dans les années 30. Cette affaire intervient alors qu'une délégation du Comité international olympique, chargée d'examiner la candidature de Londres pour les JO 2012, est en visite à Londres. L'affaire a enflé, malgré le silence des bureaux du Premier ministre, et pourrait être présentée devant le conseil des institutions publiques britanniques, qui a le pouvoir de suspendre le maire de ses fonctions pour un an voire de l'interdire de vie publique pendant 5 ans. (Source Fil-info-France)

Mardi 13 juillet 2004 : GRANDE-BRETAGNE :
250 délégués venus de 14 pays ont participé mardi à Londres à un colloque regroupant des femmes musulmanes et des personnalités du monde musulman qui ont lancé une campagne européenne visant à défendre le droit des femmes à porter le voile islamique. Le théologien Yusuf al-Qaradawi, interdit de visa aux Etats-Unis depuis 1999, a dénoncé dans la législation française une "mentalité de ghetto" déclarant : "Vous êtes en train de vous aliéner les Musulmans. Cela peut-il être comparé à de la civilisation ? C'est assurément un recul, cela va à l'encontre de la liberté religieuse et individuelle". Le maire de Londres, Ken Livingstone, a estimé que "la loi française sur la laïcité était "la proposition de loi la plus réactionnaire examinée par un parlement en Europe depuis la Deuxième Guerre mondiale. Cela marque un pas vers l'intolérance religieuse que nous avons, en Europe, promis de ne jamais répéter après avoir assisté aux effets dévastateurs de l'Holocauste". Pour Abeer Pharaon, coordinatrice de la campagne "Les gouvernements de certains pays prétendent qu'ils protègent les femmes musulmanes afin qu'elles ne soient pas "contraintes" de porter le hidjab. Ils pensent que nous sommes faibles, dirigées par nos maris et nos pères. Je peux vous garantir que nous ne le sommes pas. Les femmes musulmanes sont libérées et très éduquées". La France a adopté la loi sur la laïcité 2004-228 du 15 mars 2004, qui entrera en vigueur à la rentrée prochaine, qui interdit le port de "signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse" dans les écoles, les collèges et les lycées publics. Plusieurs Länder allemands ont annoncé qu'ils allaient également adopter une législation comparable, visant le corps enseignant. (Source Fil-info-France)

Samedi 12 juin 2004 : GRANDE-BRETAGNE :
Ken Livingstone, a été réélu maire de Londres vendredi. Surnommé "Ken le Rouge" il est connu pour ses prises de position qui vont à l'encontre de la ligne définie par le premier ministre Tony Blair. Opposé à la guerre en Irak, il avait qualifié le président américain George Bush, lors de sa visite en Grande-Bretagne en novembre 2003, de "dirigeant corrompu" et estimé qu'il constituait "la plus grande menace pour la vie que cette planète ait probablement connue". Ken Livingstone, 58 ans, avait été exclu du parti travailliste en 2000 pour avoir présenté sa candidature à la mairie de Londres contre le candidat officiel désigné par le Parti Travailliste (Labour de Tony Blair) et réintégré début janvier 2004
(Source Fil-info-France)

Vendredi 9 avril 2004
: GRANDE BRETAGNE : Ken Livingstone, le maire travailliste de Londres, a appelé, dans une interview au quotidien "The Guardian", rapportée jeudi sur le site internet du journal, à "l'emprisonnement du premier ministre israélien Ariel Sharon et la fin du régime en Arabie Saoudite déclarant : "J'attends avec impatience le jour où je me réveillerai et découvrirai que les membres de la famille royale saoudienne sont pendus à des lampadaires" et "que les Saoudiens auront leur propre gouvernement qui représente le peuple d'Arabie saoudite". L'ambassade d'Arabie saoudite à Londres n'a fait aucun commentaire se contentant d'indiquer : "Commenter ou répondre aux remarques de M. Livingstone serait leur donner plus d'importance qu'elles ne méritent". Ken Livingstone, surnommé "Ken le Rouge" est connu pour ses prises de position qui vont à l'encontre de la ligne définie par le premier ministre Tony Blair. Opposé à la guerre en Irak, il avait qualifié le président américain George Bush, lors de sa visite en Grande-Bretagne en novembre 2003, de "dirigeant corrompu" et estimé qu'il constituait "la plus grande menace pour la vie que cette planète ait probablement connue". Ken Livingstone, 58 ans, avait été exclu du parti travailliste en 2000 pour avoir présenté sa candidature à la mairie de Londres contre le candidat officiel désigné par le Parti Travailliste (Labour) et réintégré début janvier 2004. Il sera candidat à sa propre succession à la tête de la mairie de Londres, le 10 juin 2004. (Source Fil-info-France)



Plus de liens :

Ken Levingston, maire de Londres, biographie officielle
La mairie de Londres






 


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